jeudi 3 juillet 2008
Standhard
La Subversion II
épisode 2 Saison 1
Les Pirates à Alcatraz
MOUZIKA ELÉTRONIKA VIVA
Les récits de l'époque soulignent le calme de cet affrontement. Avançant jusqu'à la contrescarpe du fossé, les Anglais essaient de planter l'étendard de Talbot à l'entrée du camp français. Mêlée confuse…
L'étendard roule dans le fossé ! L'artillerie des Français, commandée par les frères Gaspard et Jean Bureau (ce dernier est Grand Maître de l’artillerie du Roi Charles VII), a eu le temps de se préparer : 300 pièces tirent à la fois, chargées à mitraille. Le carnage est effrayant. Les assaillants sont pressés les uns contre les autres, ils ne peuvent ni s'échapper ni se dissimuler. Courageusement, les survivants se regroupent, mais de nouvelles décharges jettent la débandade parmi eux. L'artillerie de Talbot ne put jamais arriver à temps. Aussi dur et meurtrier que fût le feu de l'artillerie à l'encontre des Anglo-Gascons, ces braves réussirent à continuer la lutte pendant environ une heure jusqu'au milieu de la journée, mais au bruit de la canonnade, les Bretons en réserve à Horable, chargent avec leur cavalerie et précipitent la déroute.
Gaspard, l'un des deux frères, pris d'une frénésie incontrôlée, enivré par la sanglante déroute de ses ennemis, jeta son corps dans la bataille (il aimait Pasolini). Inconscient de ses actes qui restaient vierges même répétés, les yeux mis clos, balançait du bout des bras l'immense étendard. La bannière se recouvrait de sang et de débris humain agglomérés dans les diverses rencontres avec les corps anglais. Sous le choc des coups puissants, les hommes se retrouvaient projetés sur plusieurs mètres, morts ou immobiles écrasés par cette force irréelle. Tout fuyait autour de lui, le commandant de l'artillerie etait devenu un effroyable monstre, guerroyant sans but, attiré par cette simple volonté d'exstase affreuse qui parcourait ses mains tétanisées. Elles serraient le mat du drapeau avec une force qui l'aurait broyé s'il ne fut aussi épais, ses veines gonflées d'un sang chaud semblées à tout moment rompre. Il avança jusqu’à un monticule de terre et de cadavres et y planta son fier drapeau qui ne possédait plus qu’une couleur...
Perdre ses moyens et vivre sa vie en sachant qu'une femme est une femme
lundi 9 juin 2008
Synopsis de la recherche d'un temps perdu
L'ESPACE-TEMPS SOCIAL DU CRIME
jeudi 15 mai 2008
Les nouveaux Horizons
La loi de Murphy et Brandy
Johnny a l'air d'aimer ça. Et Jean-Yves aime beaucoup Johnny.
- Tu les achètes où ? demande Johnny.
- Je ne les achète pas, je les fais.
- Et les petits pains, tu les achètes où ?
- Je les fais aussi.
- Tu fais aussi les petits pains ?
- Bien sûr que si, je peux même vous donner la recette, sourit le cuisinier.
- T'es con ou quoi ? J'cuisine pas !
(...)
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